Ecotone (Bjorg, Bonneterre, Alter Eco, Clipper…) ouvre la voie à un nouveau modèle alimentaire protégeant la biodiversité et confirme son impact positif en se hissant à la tête des grandes entreprises certifiées B Corp dans le monde

Lyon, le 23 novembre 2022 – Alors que ​59,6% des Français pensent que leur alimentation n’a pas d’impact sur la perte de notre biodiversité¹, Ecotone replace l’alimentation au cœur des discussions sur la perte de biodiversité et le changement climatique, en dévoilant ce jour son rapport d’impact “Nourrir la biodiversité”.*

¹ Chiffre exclusif Odoxa pour Ecotone, 2022.

CHANGER NOTRE ALIMENTATION, DE LA PRODUCTION À LA CONSOMMATION, POUR SAUVER LA BIODIVERSITÉ

L’impact environnemental de notre alimentation n’est plus à démontrer : en France, 1/4 de notre empreinte écologique individuelle est liée à notre alimentation.² Malgré l’urgence – 69% de la biodiversité a disparu au cours des 40 dernières années³ -, malgré les alertes d’experts et expertes sur la crise de la biodiversité, sujet central de la COP15 à venir, les Français peinent toujours à réaliser le lien évident entre la manière dont nous nous alimentons et la santé de la planète.

Devant ce constat, Ecotone prouve qu’il est encore possible de préserver et rebooster la biodiversité locale et sauvage à travers notre régime alimentaire.

Ecotone valorise dans son rapport d’impact 4 piliers majeurs dans notre alimentation qui permettent de protéger, faire grandir et chérir la biodiversité :

• Manger bio afin de réduire la pression sur la biodiversité,
• Manger végétal pour limiter l’impact carbone de l’élevage intensif et limiter la déforestation importée,
• Adopter des pratiques agricoles exigeantes et durables allant au-delà des obligations réglementaires du cahier des charges bio – infrastructures agroécologiques, fertilité des sols, conservation de l’eau, conservation des forêts, réduction du CO2,
• Diversifier notre alimentation pour rétablir l​​a biodiversité des cultures et la résilience des agrosystèmes. En effet, seulement 9 variétés végétales composent la majorité de l’alimentation humaine⁴.

Pour faire figure d’exemple et inciter d’autres acteurs à emprunter la voix d’une alimentation écologique, Ecotone s’engage pour ces 4 objectifs, en se fixant l’objectif d’atteindre d’ici 2030 une part de son CA de 90% pour le Bio (actuellement 79%), et plus de 95% pour le végétal. L’entreprise vise également 1/3 de ressources stratégiques cultivées avec des pratiques agricoles avancées d’ici 2030, et 2/3 de ses recettes composées d’ingrédients non standardisés.

² ADEME, 2019                                                                                     

³ Rapport “Planète Vivante”, WWF, 2022                                         

⁴ Maïs, soja, riz, pommes de terre, blé, huile de palme, sucre de canne, sucre de betterave, manioc.

LA MESURE DE L’IMPACT GLOBAL DES ENTREPRISES DOIT INCLURE L’USAGE DES PESTICIDES CHIMIQUES

Nous mesurons les émissions carbone, pourquoi pas les émissions de pesticides ? Ecotone va au-delà des prérequis RSE et mesure son empreinte pesticides grâce à son Indice de Pesticides Évités (IPE) : au bilan, 90.000 hectares de biodiversité préservée des traitements chimiques et 300.000 traitements chimiques évités.

Avec la création de cet indice, Ecotone veut inviter l’ensemble des acteurs de l’agroalimentaire à mesurer leur impact au-delà des obligations posées par les cadres réglementaires français et européen et contribuer à une avancée collective sur les pesticides, en faveur de notre santé et de la santé des écosystèmes.

Christophe Barnouin, CEO d’Écotone, déclare : “Nous sommes extrêmement fiers de dévoiler aujourd’hui notre rapport d’impact, une démarche volontaire de l’entreprise qui consacre un travail collectif et exigeant. Il démontre l’engagement d’Ecotone et ses marques pour la biodiversité mais invite surtout l’ensemble des acteurs de notre secteur à assumer leurs responsabilités et à rejoindre notre impulsion. Il est grand temps de réaliser collectivement que notre alimentation est un levier puissant pour répondre aux enjeux liés à la crise de la biodiversité, pour notre santé et pour notre environnement”.